Une commode qui pourrait bien s’averer illegale.
Quoi De surcroit prive que son orientation sexuelle ? Pour les applications de rencontre les plus populaires de l’instant, ce thi?me ne merite apparemment aussi nullement d’etre posee. D’apres 1 recent rapport du Norwegian Consumer Council, une ONG basee a Oslo, Tinder, Grindr mais aussi OkCupid n’hesitent gui?re a partager les renseignements de leurs utilisateurs aupres d’entreprises publicitaires. Parmi les precisions divulguees : age, adresse IP, geolocalisation puis des « criteres de selection » choisis par des usagers, qui correspondent souvent a un orientation sexuelle.
« Hors de controle »
L’institution norvegienne a principalement etudie le cas de Grindr, l’application de rencontre destinee aux hommes homosexuels et bisexuels la plus populaire au monde. Resultat : le service transmet en moyenne a une douzaine d’entreprises privees Plusieurs details concernant ses utilisateurs, dont leur pseudonyme « officiel » et des codes permettant de les identifier (et donc de nos cibler) plus sans probli?me au regard de leur orientation sexuelle et d’un ensemble de precisions accumulees a partir de un profil.